• Skip to primary navigation
  • Skip to main content
  • Skip to footer

Bankwatch

  • About us
    • Our vision
    • Who we are
    • 30 years of Bankwatch
    • Donors & finances
    • Get involved
  • What we do
    • Campaign areas
      • Beyond fossil fuels
      • Rights, democracy and development
      • Finance and biodiversity
      • Funding the energy transformation
      • Cities for People
    • Institutions we monitor
      • European Bank for Reconstruction and Development
      • European Investment Bank
      • Asian Infrastructure Investment Bank
      • Asian Development Bank (ADB)
      • EU funds
    • Our projects
    • Success stories
  • Publications
  • News
    • Blog posts
    • Press releases
    • Stories
    • Podcast
    • Us in the media
    • Videos

Home > Bankwatch in the media > Se souvenir, transmettre, représenter la catastrophe

Se souvenir, transmettre, représenter la catastrophe

26 April 2016, france culture

Les voix que nous entendons approchent Tchernobyl en racontant l’histoire qui a traversé leur famille ou leur corps, tentent de saisir la catastrophe par un film, un texte, des objets collectés dans les maisons évacuées.

Un documentaire de Marie Chartron et Vincent Decque

Prise de son : Raymond Albouy

Un objet complexe nommé Tchernobyl : c’est l’expression qu’emploie la traductrice et journaliste Galia Ackerman pour désigner ce qui résiste à une définition simple. Cet objet à entrées multiples concentre à la fois des mémoires et des destins individuels, un tournant dans l’histoire de l’Union soviétique, une catastrophe technologique, humaine et sanitaire dont on ne peut circonscrire les conséquences, une gestion particulière de l’énergie nucléaire, une culture engloutie, celle de la région de Polésie évacuée après l’accident.

« Je n’ai rien écrit sur Tchernobyl pendant 25 ans. Pas une seule fois mes compatriotes ne m’ont demandé pourquoi. Seuls les étrangers me l’ont demandé, et ceci assez régulièrement. Les Ukrainiens ne savent que trop bien ce que veut dire cette zone de silence, et combien il est difficile de trouver le chemin pour en sortir. »

C’est avec ces mots, extraits de son essai Planète mélancolie, que l’écrivaine Oksana Zaboujko commence à explorer l’héritage collectif de Tchernobyl en Ukraine.

Plus que quelques dizaines de milliers d’années avant qu’il ne devienne mémoire…

Avec :

Tamara Krasitskaya, Nikolaï Belooussov et Loudmilla Diatpova de l’association Zemlyaki.

Anna Korolevska, directrice du Musée de Tchernobyl à Kiev

Galia Ackerman, historienne, journaliste et traductrice

Lina Kostenko, écrivaine

Anna Lavrentieva, ancienne habitante du village d’Illintsy, dans la zone d’exclusion

Myroslav Slaboshpytskiy, cinéaste

Markiyan Kamish, écrivain

Niels Ackermann, photographe

Olexi Pasiuk, membre du Centre écologique national d’Ukraine (Necu)

Traduction : Larissa Mamounia et Olga Mitronina

Institution: EBRD

Theme: Energy & climate

Location: Ukraine

Project: Zombie reactors in Ukraine

Tags: Chernobyl | nuclear

Footer

CEE Bankwatch Network gratefully acknowledges EU funding support.

The content of this website is the sole responsibility of CEE Bankwatch Network and can under no circumstances be regarded as reflecting the position of the European Union.

Unless otherwise noted, the content on this website is licensed under a Creative Commons BY-SA 4.0 License

Your personal data collected on the website is governed by the present Privacy Policy.

Get in touch with us

  • Bluesky
  • Email
  • Facebook
  • Instagram
  • LinkedIn
  • RSS
  • YouTube